A ma gauche, la Patator’s Team :

Philippe GOSSET, Pierre POMIERS, Bruno LAROIS, Laurent GERMAIN, Olivier CADOR, Olivier VANTALON et Guillaume HENRY.

Une équipe formée d’ingénieurs de l'ESIEA et de l'EFREI, dont certains, poursuivant leurs études de robotique à PARIS VI et grisés par l’ambiance des années précédentes, souhaitaient simplement participer une fois encore. Leur objectif : rester en course le plus longtemps possible et faire la fête. Tout a été mis en œuvre dans ce sens, à commencer par la conception originale de leur robot: une vachette, Patator, gambadant furieusement sur le terrain. Une partie importante du public, conquis par la mascotte, est venu grossir les rangs de leur fan-club à l’issue de cette journée, un fan-club extrêmement démonstratif et ... bruyant.

A ma droite, l’équipe de l’INT d’Evry   (Institut National des Télécommunications) :

Arnaud VARET, Patrick EL KHOURY, Laurent MAGNER, Julien SERRE, Loïc BERNABLE, Stéphane LECOANET, Steeve DEVERGNE, Emmanuel VAIE, Jean-Jacques PUIG et Lionel GRASSIN.

Une équipe homogène, structurée et méthodique. Leur robot, un  tueur baptisé CoreDump, semblait prévoir les déplacements de l’adversaire, récoltait avant lui la quasi-totalité des balles, et allait les loger dans les buts adverses avec vitesse et précision. Leurs scores impitoyables et surtout la faculté du robot à retrouver son chemin comme par magie alors que ses corps à corps avec l'adversaire l'avaient désorienté ont fait penser à certains observateurs que celui-ci pouvait être télécommandé depuis les tribunes. Ce n’était évidemment pas le cas, mais les organisateurs ont vivement recommandé à cette équipe de ne pas circuler sans gardes du corps …